Comment Christelle s’est débarrassée d’une acné persistante après sa grossesse avec SkinCampus

Christelle était « la fille qui n’a pas d’acné au collège » mais a commencé à avoir de fortes poussées après sa grossesse. On va parler de son expérience quand elle a commencé à avoir des poussées d’acné, son état d’esprit et son évolution dans le programme, ce qu’elle en retient et son ressenti. C’est un pur plaisir de l’avoir dans cette interview parce que, pour moi, ça a été un plaisir de l’accompagner dans le programme, de voir les résultats qu’elle a obtenu, l’avancée de son état d’esprit, de son mindset. Pour moi, c’est encore quelque chose qui me remplit de joie.

• QUI EST CHRISTELLE ?

[Dr Lothaire Benichou] Aujourd’hui je vous accueille pour cette superbe interview qu’on va faire avec Christelle, on va parler de son expérience dans le programme. c’est un pur plaisir de t’avoir Christelle parce que moi ça a été super plaisir de t’accompagner dans le programme, les résultats que tu as obtenu, l’avancée de ton état d’esprit, de ton mindset, pour moi, c’est encore quelque chose qui me remplit de joie. Pour les gens qui ne te connaissent pas, peux-tu te présenter Christelle ? 

[Christelle] Je m’appelle dans Christelle et je suis âgée de 34 ans et jusque la fin jusqu’à ma grossesse on va dire à 26 ans j’avais pas d’acné et après ma grossesse quand j’ai arrêté la pilule, j’ai commencé à avoir de l’acné, à avoir des poussées, de grosses grosses poussées et j’ai un peu tout essayé j’ai pas été jusqu’au roaccutane mais j’ai essayé tous les produits en pharmacie sans pour autant vouloir passer au traitement oral.

Je vois que tu peux nous raconter beaucoup de choses, je te remercie, c’est super. Ce que je voulais te demander, pour nous remettre ça en tête et puis aussi pour les gens qui nous écoutent, est-ce que tu avais eu de l’acné quand tu étais ado  ?

Pas du tout, contrairement à mon frère

Donc tu étais “la fille du collège qui n’avait pas d’acné”

Tout à fait, j’en avais pas 

Donc chanceuse, pas de soucis avec ça ! A l’époque tu étais sous pilule ou pas ? 

j’ai eu la pilule à partir de 18 ans mais avant je ne l’avais pas 

• QUAND A-T-ELLE COMMENCE A AVOIR DE L’ACNE ?

c’est super intéressant ! et donc tu disais que c’est à partir de ta première grossesse de ta grossesse du coup ça a commencé pendant ta grossesse ou après ? 

Après, bien après ! 

Quand tu dis bien après, c’est combien de temps ? Pendant l’allaitement ? 

Je dirais 1 an ou 2 ans après

A cette époque, là tu étais sous pilule ? 

Oui, j’ai repris la pilule et puis je l’ai arrêtée et c’est à ce moment là que j’ai découvert un bon acné, en dessous du cou, dans le dos, de façon assez importante

• COMMENT A-T-ELLE REAGI ?

Il s’agissait d’une acné polymorphes (= lésions sous cutanées, microkystiques) et en même temps des lésions kystiques avec les têtes blanches. Qu’est-ce que tu t’es dit quand tu as commencé à avoir de l’acné vers 28-29 ans ?

Quand ça a commencé, je ne savais pas d’où ça pouvait provenir car je n’avais jamais subit une telle chose, je pensais que l’acné c’était un problème d’adolescent. Ensuite, j’ai pensé que c’était lié à ma grossesse, je ne connaissais pas mon corps, je me posais beaucoup de questions, je cherchais sur internet

Quand tu as commencé à avoir les boutons, tu as compris que c’était de l’acné ?

L’acné c’est fort comme mot, c’est tabou donc je ne me disais pas “j’ai de l’acné” car j’ai 30 ans. C’est notamment un moment où on dit que les hormones travaillent mais j’ai du constater que ça n’était pas forcément lié à mon cycle, à mes règles. J’étais persuadée que ça ne pouvait pas être de l’acné

Je comprends, généralement, on associe l’acné avec l’adolescence : dans les films, les séries, dans les dessins animés et d’ailleurs on rigole toujours de ça, l’acné est un mot chargé de honte, de choses négatives et donc parfois, on peut se dire “non, je ne peux pas avoir d’acné, je ne suis plus adolescent” alors on cherche d’autre pistes : est-ce que je suis allergique à quelque chose ? Est-ce que ce sont mes hormones ? Est-ce qu’il y a quelque chose qui ne va pas dans mon corps ? mais on ne se dit pas “j’ai de l’acné”. Qu’on soit d’accord, le mot acné est juste un mot qu’on utilise pour parler de ce phénomène et des lésions qui se déclenchent autour de l’adolescence pour un grand nombre de personnes. Adulte, on parle plutôt d’acné adulte. Et comme tu le sais maintenant, ça vient de choses plus profondes : il y a une part de vrai quand tu te dis que c’est lié à ta grossesse, aux hormones, et le corps étant un système symbiotique, où plusieurs systèmes fonctionnent ensemble et bien plusieurs systèmes sont concernés. Dans ton parcours où tu as essayé plusieurs choses, comment ça s’est passé quand tu avais voulu réagir ?

Ca peut paraître bizarre mais je ne suis pas allée chez une dermato. Ma maman avait fait cela et finalement ça n’a jamais abouti pour elle, alors je me suis débrouillée toute seule, je suis allée sur internet, acheter des produits et finalement tomber sur une de tes vidéos.  J’ai vu les résultats impressionnants que les gens obtenaient et, j’étais dans une situation où je n’avais plus rien à perdre, j’étais au bout  psychologiquement, physiquement, je ne pouvais plus, j’étais sans cesse sur internet pour trouver des solutions, sans avoir de résultats et,  mes recherches sur internet ont finalement bien fait les choses puisque je suis tombée sur une de tes vidéos. 

• COMMENT CHRISTELLE A-T-ELLE REAGI EN DECOUVRANT SKIN CAMPUS ?

Qu’est-ce que tu t’es dit en envoyant les vidéos ?

je me suis dit que je ne connaissais pas mon corps, que je ne savais pas ce que c’était l’acné, l’acné adulte, l’acné tout court. On pense que ce n’est pas en profondeur qu’il faut chercher mais finalement, les produits ne faisant rien en surface, je me suis dit qu’il y avait quelque chose à chercher. J’ai écouté ton parcours, j’ai vu que toi tu y étais arrivé et je me suis dit pourquoi pas moi, j’ai foncé. Je me suis dit je n’ai plus rien à perdre, on verra, je fonce

Et c’est tout à ton honneur. Rester dans sa tête, calculer les choses, avoir des peurs crée des anxiétés alors qu’en avançant, au pire on se trompe et on apprend. Je connais bien ce que tu as vécu. Et qu’est-ce que tu t’es dit en découvrant Skin Campus ?

Je me suis dit “lance-toi, lance-toi”. Et puis c’était un bien pour moi mais aussi pour mon entourage car mon entourage en pâtissait, il a souffert car quand ça n’allait pas, j’avais du mal à relativiser et c’est un problème [l’acné] que ton entourage voit et puis subit. C’est un problème intérieur et extérieur. Quand je sortais dans la rue, je sortais avec une écharpe pour ne pas qu’on voit mes poussées, je voyais le regard des gens, j’avais l’impression qu’ils me scrutaient. Et au niveau du travail, j’avais quand même besoin d’avoir une apparence convenable, je ne pouvais pas me présenter comme ça alors j’avais une pression psychologique, physique et à d’autres niveaux. J’ai donc décidé que je devais faire quelque chose et j’ai décidé d’agir. 

• L’APPEL AU SECOURS

Waouw, merci de me partager ça Christelle, ce sont vraiment tes mots personnels, ce sont les tiens. Et finalement ils résonnent avec toutes les personnes qui ont de l’acné. C’est quelque chose qu’on ne peut pas cacher, on le vit intérieurement, qui nous caractérise à un certain moment. Et finalement, on se dit que ça fait vraiment partie de nous, ça fait partie de notre identité. A tel point que lorsqu’on parle avec une autre personne, on a toujours cette petite notification qui nous rappelle qu’on a un bouton, peut-être que la personne est en train de le regarder. Aussi, quand ça nous fait mal, on y pense tout le temps, ça ne nous quitte pas la tête. Ça me parle beaucoup ce que tu dis. Quel était ton état d’esprit tu étais quand tu as décidé de faire l’appel afin de savoir si on pouvait t’aider ?

C’était un appel au secours ! j’ai vu qu’il y avait une équipe derrière avec des personnes qui ont vécu la même chose que moi, qui n’allaient pas nous juger. J’avais la sensation que j’étais au bon endroit. Et puis j’étais vraiment mal, je ne sortais plus que par nécessité, je ne sortais plus par plaisir, j’évitais d’aller dans les magasins. C’était vraiment un appel au secours

C’est pour ça aussi qu’on fait ça. On sait chez Skin Campus à quel point avoir de l’acné peut limiter notre façon de vivre et notre qualité de vie. Quasiment toute l’équipe l’a vécu, On a même recruté des gens qui ont suivi le programme. j’aime beaucoup ce que tu dis : c’est une équipe qui est sensibilisée à ça, qui sait ce qu’on vit, c’est ce qu’on a vécu. Je me demandais, quand tu es rentrée dans le programme, qu’est-ce qui a changé immédiatement pour toi ?

Je me suis sentie entourée de personnes qui vivaient la même chose que mo, je n’étais plus toute seule, on pouvait partager notre état d’esprit, ce qu’on vivait, nos questionnements, on s’entraidait et, aussi, j’étais avec des gens qui me comprenaient car, dans mon entourage, personne ne pouvait comprendre que ça me mettait dans des état catastrophique, on me disait que j’en faisais trop, que ça allait passer mais ils ne pouvaient pas comprendre, ils ne se mettaient pas à me place. Donc, je pouvais me confier à des personnes qui vivaient la même chose que moi, chose que je n’avais pas dans mon entourage. Donc sur mon état d’esprit, ça m’a fait beaucoup de bien. Et puis ensuite, par rapport aux choses qui se mettaient en place dans le programme et qui me faisaient du bien, qui faisaient du bien à mon corps dès le départ. Et je me disais “voilà, avant tu n’avais pas les clefs, tu ne pouvais pas comprendre ce que voulait ton corps” et je voyais donc que j’étais au bon endroit. 

• « J’AI APPRIS A COMPRENDRE MON CORPS »

Quand tu dis “j’ai appris à comprendre mon corps”, Qu’est-ce qui t’a le plus surpris ? Quelle est la chose que tu as apprise et où tu t’es dit “Waouw”, ça j’en avais pas idée ? 

Ce que l’alimentation pouvait faire sur notre corps, toutes les choses mauvaises qu’on peu manger et qu’on ne soupçonne pas. Au début, on peut ressentir des frustrations, on se dit qu’on va se priver de plein de choses mais finalement, ça procure du bien-être et je ne retourne même plus vers ces choses là, c’est pas possible. Je sais que je fais du bien à mon corps, je sais que je lui donne ce dont il a besoin. et toutes ces mauvaises choses, je n’y retourne pas. Je ne m’autorisais pas d’écart et finalement ça a eu des effets sur mon corps : je n’avais plus les jambes lourdes, je n’étais plus irritable, j’étais plus légère, comme si on m’avait mis un coup de karcher, c’était super. J’avais de nouveau envie d’aller faire de la marche, de bouger alors qu’avant, j’étais comme encrassée. Je le dis d’ailleurs, j’avais l’impression que j’étais encrassée, j’avais besoin d’un coup de boost et maintenant je suis beaucoup en forme qu’au début. 

C’est génial ! Et Je me souviens que tu avais un certain niveau d’anxiété et puis, au fur et à mesure, c’est toi qui coachais les autres, tu les rassurais en disant “t’en fais pas, c’est normal d’avoir ces variations, reste rigoureux sur ce que tu fais” Est-ce que tu as senti aussi une évolution dans ton état d’esprit ? 

Complètement ! Au niveau de mon entourage, j’étais irritable, je m’énervais pour ien, tout m’énervait, une remarque, j’étais très sensible. Au niveau du mindset aussi [c’était négatif]. On ne se rend pas compte de ce que notre corps peut faire sur notee état d’esprit, tout simplement. Ca, je ne le savais pas avant d’entrer dans le programme, on ne le sait pas tout ça. 

• L’AVANT-APRES, LE JOUR ET LA NUIT

Et pour toi, c’était vraiment le jour et la nuit, comme on peut l’entendre [ et le voir sur les photos à 18:54]. Pour moi, c’est important que les gens puissent être accompagnés, pour qu’ils puissent avoir l’espace pour vivre cela avec leur corps et que ça leur appartienne. Ce ne sont pas des dogmes que tu dois faire ou pas, on est plutôt dans une démarche de “essaie ça, fait le, vis le et puis ça t’appartient “ et en le vivant, on se l’approprie, ça t’appartient. 

Et je t’en remercie, vivement ! 

Ca me touche beaucoup, j’accepte tes remerciements. Et tout ce que tu me dis là, ça me remplit d’émottions et ça me fait super plaisir de voir à quel point tu as évolué, comme tu as le contrôle et l’effet que ça a sur tous les domaines de la vie. Moi je l’ai vécu donc j’avais envie que d’autres personnes le vivent et là tu l’incarnes donc, j’ai envie dire, ça me valide mon existence. 

Oui voilà ! et puis il n’y a que toi qui t’es dit j’ai vécu ça, je vais le partager, ne pas le garder pour toi, car tu aurais pu. Je ne suis pas du genre à faire des éloges pour rien donc franchement, j’ai un grand respect pour toi et une grande admiration pour toi. Les gens qui s’en sortent ne font pas toujours profiter aux autres et franchement, je t’en remercie car, sans toi, je serais toujours en train de galérer avec des produits, ça [l’acné] pourrit la vie et on se le disait tous dans la team, ça pourrit le quotidien. Donc je te remercie pour tous car je ne serais pas là à l’heure actuelle, épanouie comme je le suis aujourd’hui. 

• AUJOURD’HUI JE SUIS EPANOUIE

Ca me touche, merci beaucoup. Quand tu dis épanouie, qu’est-ce que ça veut dire pour toi ? Qu’est ce qui a changé dans ton existence ? A quoi ressemble ta routine de peau, qu’est ce qui a changé par rapport à avant ? Qu’est ce qui est différent de la Christelle d’avant ?

Je ne passe plus des heures devant ma glace, tout simplement ! J’ai plus de temps pour ma fille, pour mon entourage, je fais autre chose. Avant je passais  des heures devant ma glace à me demander comment j’allais camoufler tout ça ! Maintenant, je ne mets plus rien, plus de fond de teint. Je mets un coup de crayon et je m’en vais. Quel gain de temps, je dors plus longtemps. Ca n’a plus rien à voir. Je ne fais plus tout ça ! C’est extraordinaire. Au niveau de ma routine de soin, je n’applique plus rien. Je suis bien !

C’est fantastique ! Et en rentrant dans le programme, à quoi ressemblait ta routine de soin, qu’est-ce que tu faisais ? 

Je faisais une routine de soin le matin et le soir, en n’oubliant rien du tout. Tu sais que je suis très militaire. Le rituel des soins se faisait le matin, le soir et puis, au niveau de l’alimentation, je respectais bien les recommandations avec l’aide de mon mari au top. Mon mari n’y croyait pas au début, il a mis du temps mais il a vu les résultats et, bouche cousue. 

• LA ROUTINE DE SOIN QUI NE FONCTIONNAIT PAS

Et, avant de rentrer dans le programme, quand tu ne nous connaissais pas ? 

Je faisais des masques à l’argile. Au début, ça asséchait bien car j’avais la peau très grasse donc je me disais “c’est bien, ça sèche” et finalement les poussées revenait quelques temps après. Et les points noirs, n’en parlons pas, que j’avais beaucoup, ça désincrustait mais finalement ça revenait . J’ai appliqué des produits de pharmacie comme neutrogena ou autres marques. Ca me séchait la peu et je me disais que c’était bien puisqu’elle était grasse mais en fait, pas du tout, ça revenait. Je n’ai pas voulu prendre de traitements oraux donc je me limitais à des produits à appliquer sur la peau. Je pensais que ça marchait mais en fait ça ne marchait pas. et j’avais toujours de nouveau des poussées

C’est intéressant car, parfois, on a des lésions et on pense qu’il faut utiliser des produits qui vont être asséchant, comme tu le dis. On utilise onc des produits asséchant qui, dès qu’ils contiennent des saponifiants, des choses qui vont mousses un peu, on enlève tous les filtres de la peau donc ça assèche et on a une sensation de propre. Mais les lésions s’astringent, elles absorbent les liquides , les huiles, ça les sèche mais ça n’agit que sur les lésions qui sont déjà présentes, ça n’agit pas sur ce qui génère les lésions. Donc, on se dit, je vais soigner les lésions existantes, on les soignent mais d’autres reviennent. Donc, c’est le serpent qui se mord la queue. Je me souviens, quand j’étais ado, je me disais “bon, il me reste 2-3 boutons là et là et puis après j’aurai plus d’acné de toute ma vie”. Donc je mettais de crèmes au péroxyde, j’avais tout ce qui était possible. Et puis je me réveillais le lendemain matin et j’en avais 3 nouveaux. Et je recommençais : plus que 1, 2, 3, 4,5, 6, 7, 8 boutons et puis c’est terminé . Et à un moment j’ai arrêté de compter. 

C’est ça, c’est interminable ! 

• LA REACTION DE SON ENTOURAGE

Quand tu parlais de ton mari qui n’était pas sur au début, que s’est-il passé quand tu lui as dit que tu voulais faire un programme sur internet pour te débarrasser de l’acné, qu’est-ce qu’il t’a dit ? 

Il m’a dit que j’étais complètement folle ! [rire] Il m’a dit “mais qu’est-ce que tu vas faire ? C’est une arnaque, tu vas te faire arnaquer, c’est de la publicité. Je lui ai dit de me laisser faire, je suis bélier, je suis tétue .. Je lui ai dit “laisse moi faire, au moins si ça marche pas, j’aurai quand même tenté et je n’aurai pas de regret. Ensuite, il a vu que ça commençait à marcher, alors il a commencé à changer un peu mais ça a pris du temps car il a un sacré caractère mais quand il a vu les résultats, il a commençait à me faire les repas qui me convenait et j’avais un soutien. [Mon entourage a suivi aussi:] Maintenant, quand je vais manger dans ma famille, ils me demandent ce que je peux manger et il n’y a aucun problème. 

C’est fantastique d’avoir ce soutien là ! Et qu’est ce que tu t’es dit quand il a vu lui aussi que ça fonctionnait ? 

Je lui ai dit “et toc ! Et tu ne voulais pas me croire mais voilà les résultats”. Il est resté assez étonné de la progression. Il m’a vu au début avec mon acné, il voyait que ça me minait beaucoup et que j’étais pas bien et, même s’il voulait me rassurer. Et quand il a vu les résultats et puis aussi que psychologiquement, j’étais moins énervée, il a accepté que ça marchait, j’ai gagné ! 

Superbe ! Ce que je trouve génial c’est que nos proches veulent nous soutenir, nous rassurer mais ils ne peuvent pas se mettre à notre place et le fait que ton mari que ton mari t’ai soutenu, c’est pas pour rien et c’est merveilleux ! Mais il fait qu’il se soit rangé de ton côté,  qu’il t’écoutent, qu’il t’ait soutenu pendant le programme et encore maintenant, C’est génial. Et puis c’est vrai qu’il y a des gens qui ont peur de se lancer, qui ont peur que ce soit une arnaque sur internet. Nous, le but d’être sur internet, c’est de pouvoir aider des gens partout sur la planète, c’est un modèle qui est pensé plus pour les personnes [qui ont besoin d’aide] plus que pour nous finalement, et certaine personnes sont peut-être bloquée par la pensée que “si mon mari ne me soutient pas, si mon entourage ne me soutient pas, alors je ne peux pas y arriver toute seule.

• JE N’ETAIS PLUS SEULE

Et là, finalement, ce que tu montres, c’est que l’idée, la décision vient de toi, que quand on s’engage pour quelque chose, on le fait fonctionner pour soi. et ensuite, les personnes [ l’entourage], qui n’ont pas les informations, qui n’ont pas le même engagement émotionnel, ne peuvent pas comprendre, ne peuvent pas comprendre que l’on puisse investir de l’argent. C’est la bonne démonstration que, en le faisant, en se donnant les moyens de [y arriver], tu atteins les résultats que tu veux. Et nous, ça nous permet de faire évoluer l’entreprise, pouvoir être là pour vous et d’être sûrs d’avoir toutes les ressources nécessaires pour que vous ne soyez pas perdus, pour qu’on puisse suivre vos avancées, vos photos. C’est un super exemple que tu nous donnes là Christelle donc je te remercie. 

Ce que je veux dire aussi, c’est que c’est une équipe qui est derrière mais bien plus que de l’intendance, il y a un accompagnement pour chaque personne, pour chaque personne. Ce n’est pas qu’on nous donne les informations, que chacun doit prendre les informations qu’il peut ou qu’il pense pouvoir être adaptée à leur cas. C’est à dire qu’il y a une personne qui est derrière, qui accompagne, qui parle personnellement à la personne. Ce n’est pas comme à la fac où une personne parle et les autres prennent des notes. Il y a un accompagnement personnalisé en fonction des lésions que l’on a, car on a pas tous les mêmes lésions, on pense, je pensais avant d’entrer dans le programme que je pouvais avoir des lésions différentes des autres. Tout ça on l’apprend et après le programme évolue et notre parcours évolue en fonction de nos avancées, on nous donne ce qui nous est adapté. Ce ne sont pas des informations qu’on prend comme elles arrivent et on les prend comme on peut.  J’avais peur de me retrouver au milieu de plein de personnes, de devoir prendre des informations comme je pouvais sans savoir si elles étaient adaptées pour moi ou non alors que là, l’accompagnement est personnalisé, ça j’ai beaucoup aimé et ça m’a beaucoup aidé.

Super Christelle ! Ce n’est pas “juste une formation” où on vous donnne des vidéos et débrouillez-vous, croisez les doigts, on vous retrouve dans 6 mois et on espère que ça marche pour vous ! Non ! On valide à chaque fois chaque chose avec des conseils et un suivi : vous avez mis ceci en place, ça fonctionne, ok on passe à la suite. Ta peau évolue de telle façon, fais ceci pour booster . On constate un problème, essaie plutôt ceci, est-ce que c’est bon maintenant ?  Pour moi, c’est ce qui fait toute la différence en fait car, comme tu l’as très bien dit, chaque personne a des lésions différentes. A l’heure actuelle, on a accompagné plus de 420 personnes et donc il y a 420 manières de comprendre le contenu, il y a 420 peaux différentes qui ont réagi à ce qu’on met en place. Comme tu dis, c’est vraiment au cas par cas, ce qui permet que tu puisses comprendre ton corps sur des notions qui sont telles que le fonctionnement du corps et puis il y a les façons de l’appliquer et c’est une partie du game. 

C’est ça que vous nous apprenez oui, donc c’est parfait. Du coup, maintenant, on a tout ce qu’il faut pour avancer. 

• CHRISTELLE, QUE DIRAIS-TU A UNE PERSONNE QUI A ENCORE UN PETIT PEU PEUR DE SE LANCER ?

Exactement ! Christelle, je voulais encore te remercier pour cet appel et je me disais aussi, si là maintenant, il y a une personne qui nous écoute [nous lit] et qui se dit “j’ai vraiment envie de me débarrasser de mon acné mais j’ai encore un petit peu peur, j’ai besoin d’un petit coup de pouce pour sauter le pas, qu’est-ce que tu lui dirais à cette personne qui est dans l’anxiété, qui hésite un peu ? 

Je suis fonceuse mais j’ai aussi été anxieuse, j’ai aussi été angoissée, c’était un pas à franchir mais quand tu vois que tu n’y arrives pas, que tu n’as pas toutes les clefs pour y arriver et que t’as beau essayer plein de choses qui ne fonctionnent pas, il faut y aller et puis après tout ça sera derrière toi, tu ne devras plus y penser et te préoccuper de ça, qui te bouffe la vie. Maintenant, comme je te dis, je passe un coup de crayon sur les yeux et je m’en vais, je ne regarde plus ma peau [pour compter les boutons] et donc après, elle [la personne] n’aura plus qu’à vivre autre chose que ses boutons. Que cette personne fonce. Si je devais le refaire, je le referai ! Et, pour te dire, quand je vois une personne comme ça, de mon âge ou plus jeune, quand je vois qu’elles ont de l’acné dans la rue, j’ai envie d’aller vers elle et les aider [et leur parler du programme] car je sais ce qu’elles traversent à ce moment là. J’ai envie d’aller leur dire “Ecoute de te tracassser avec ça, regarde comment tu es, regarde comment moi je suis” et leur dire “franchement, vas-y. Tu dois avoir un poids sur les épaules mais enlève ce poids et fonce !”. Je témoignage pour dire que je suis heureuse et qu’avant ça n’allait pas, j’étais malheureuse. 

Christelle, c’est merveilleux ce que tu nous partages, merci de ta franchise, de ta transparence, ton courage aussi car tu parles de quelques chose qui a été challengeant, qui a été difficile et là tu l’as transformé, tu es une nouvelle femme pour ça donc, encore une fois, bravo parce que tu incarnes ce que nous on essaie de créer dans ce monde, l’impact que l’on veut avoir. Ca me fait un plaisir fou de te parler, d’avoir fait cet échange ensemble. Je te souhaite de continuer. De toutes façons, tu as les clefs, quoi qu’il arrive, on est jamais bien loin non plus donc prend soin de toi  Christelle, on se retrouve bientôt ! Et pour ceux qui nous écoutent, vous avez surement été touchés, j’espère autant que moi car ça m’a bouleversé cet échange, si vous êtes intéressés, voici les liens pour en savoir plus sur ce qu’on fait et prendre rendez-vous avec notre équipe.

Christelle, prend bien soin de toi, bonne continuation

et, à tous, on se retrouve très bientôt dans la prochaine vidéo. 

Si comme les plus de 600 personnes que nous avons accompagnées avec succès, vous voulez vous débarrasser de votre acné sainement, voici le lien gratuit pour en apprendre plus : https://stopacne.skincampus.com/7-etapes​

Avec tout mon soutien et que vous retrouviez une peau nette,

Lothaire

Dr Lothaire Benichou,

Pharmacien, Expert de l’acné adulte

 

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